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Précisions et clarifications aux électeurs.

AVEC M LECERF, NOUS NE JOUONS PAS DANS LA MEME DIVISION "

( citation dans le blog de Monsieur Marette )


Sur son blog  M louis MARETTE perd sa sérénité affichée dans la presse et se laisse aller aux attaques personnelles et au mépris. 

 

Nous, nous allons livrer un match correct, viril certes, mais correct. Nous n'allons pas commettre de mauvais geste et nous attaquer aux personnes , sur leur passé ou leurs capacités. 

 

Nos ballons ce sont les chiffres que tout le monde peut consulter en mairie, les observations critiques  que tout le monde peut faire sur le terrain et bien sûr nos propositions.

 

LA VERITE-LA LIBERTE DU SENS CRITIQUE . LE PARTAGE CITOYEN AUX DECISIONS.

Bon match, Monsieur  Marette.

 

DOMAINE DES OISEAUX.

 

SUBVENTIONS

 

Les subventions, vous savez autant que moi,  qu’elles soient départementales, régionales, nationales ou européennes, sont constituées par les impôts des citoyens. Si elles proviennent de l’ADOUR-GARONNE ou d’EDF elles le sont  encore par divers prélèvements et contributions publiques.

 

Vouloir faire croire que les subventions sont tombées du ciel c’est de la communication politicienne.

 

Que les financements viennent directement de la commune ou de subventions diverses cela reste toujours de l’argent public.

 

Je vais m’employer à vous convaincre que le budget de notre commune peut-être plus rigoureux et utilisé à meilleur  escient.

 

"CE N'EST PAS LA MUNICIPALITE QUI A DECIDE DE L'IMPLANTATION DES GRAVIERES"

( citation dans le blog de Monsieur Marette )

 

Sauf qu'elle a approuvé leur ouverture à l'unanimité, tout comme elle votera à l'unanimité (à titre consultatif )pour les gravières de Saverdun .

Et le hasard faisant bien les choses les graviéristes sont tombés sur le notaire  , la chatelaine de  La Nogarède et deux conseillers municipauxdont...celui du Chalet Pasteur  !!!

 

STOP.

 

Nous ne voulons ni vider les lacs , ni boucher les trous Nous ne voulons pas casser ce qui est fait. 

 

Notre vision est simple:Faire des économies et rendre cet espace aux Mazériens afin de  bâtir des projets avec eux et non plus avec des partenaires contraignants. 

 

   - Nouvelles acquisitions de terres agricoles : STOP

 

   - Nouvelles constructions de bâtiments : STOP

 

   - Mainmise de la Fédération de chasse :STOP

 (Nous n'avons rien contre les chasseurs et la chasse banale qui est un droit de la Révolution française et de l'Abolition des privilèges )

 

   - La mise à disposition gratuite d'infrastructures coûteuses comme les  observatoires béton et la cabane " Chez Antoine " STOP

 

 - Le sanctuaire de CLUNY avec son mirador qui ne sert à rien ses km de grillage ,sa transformation en "volière "anglaise au prix de journées et de journées de personnel communal le comblement des fossés pour en arriver à RIEN...STOP

 

  - La mise à disposition d'un employé par le biais de l'association TRANSPARENTE (voir définition exacte ) "Autour des lacs "présidée par le 1er Adjoint

 et sbventionnée à hauteur de 14 000 euros en 2013   STOP 

 

   - L'achat d'animaux aussi inutiles que stériles   STOP

 

CE QUE NOUS POUVONS FAIRE.

 

 Nous voulons que l'agencement futur soit réalisé en concertation avec nos concitoyens dont nous accompagnerons les idées .

 

 Voici la trame de notre perspective :

 

   -Le site demeurera une Base Loisirs Nature .

 

   -Les ornithologues conserveront leur espace et la qualité des prestations après un contrat restant à définir avec leur association .

 

   -Les espace prairies -zones humides-écuries peuvent être adaptés à la présence de chevaux Mérens (activités équestres ,équithérapie ,fête  du cheval,

   point d'étapes de randonnées , valorisation des sentiers ,etc ...) La gestion sera assurée par des bénévoles qui sont dèjà prêts et compétents en ce domaine .

   Une donation de 2 juments Mérens dressées nous a été proposée .

 

   -Création d'un Parc de LOISIRS -DETENTE SANTE

 

 Ce dernier point reste à préciser après la visite convenue du Parc BOUYCHERE à FOIX 

 

 Voici donc un projet certes peu ambitieux mais qui me semble répondre à ce qu'attendent les Mazériens modérés .

 C'est eux qui votent !

 

 Quand je dis équithérapie : il y a à Calmont une structure pour handicap

 

L’achat du Chalet Pasteur.

 

Il me parait intéressant de rappeler certaines vérités à Monsieur MARETTE et à ses colistiers qu’ils semblent oublier sur leur blog.

 

1/ Comment est fixé le prix d’un bien immobilier :

 

La valorisation d’un immeuble, utilisé à titre de résidence principale et à usage d’habitation est relativement simple et intuitive contrairement aux immeubles de rapport et autres locaux commerciaux dont la valorisation est principalement mathématique et financière.

Si nous étions réducteurs, nous pourrions affirmer que la valeur d’un immeuble est tout simplement : UN TERRAIN A BATIR SUR LEQUEL EST REALISE UNE CONSTRUCTION.

 

De ce fait, la valeur de l’immeuble sera donc la somme de :

 

-PRIX DU TERRAIN

+ PRIX D’UNE CONSTRUCTION NEUVE EQUIVALENTE

TAUX DE VÉTUSTE (fonction de l’ancienneté de la construction)

+ TAUX AMÉLIORATION (afin de tenir compte des aménagements complémentaires tels que les terrasses ou autres piscines).

= PRIX DE L’IMMOBILIER.

 

Vous me direz qu’il est finalement assez simple d’estimer un bien immobilier. Bien évidemment que non car l’effet « marché » viendra corriger cette valorisation.

 

 Un professionnel de l’immobilier (un vrai qui détient une carte T à son nom) vous dira qu’il y a 3 facteurs qui rentrent en compte pour déterminer le prix d’un bien :

 

Le prix du foncier (c’est-à-dire le prix du terrain à bâtir) ;

Le coût de la construction ;

L’évolution des normes de construction afin de déterminer le taux de vétusté de l’immeuble vis à vis d’une construction neuve.

 

Le coût du bâti :

 

Le coût de construction d’un immeuble est une donnée assez fiable et facile à déterminer. Généralement exprimé en prix au m², c’est la rémunération des matériaux et de la main d’œuvre nécessaire à la construction de l’immeuble. Ce coût de construction tient compte des exigences de construction et notamment de l’ensemble des normes environnementales (BBC, RT 2012 et autres maison passives).

 

Le coût de construction d’une maison est un élément très protecteur pour l’acheteur, puisqu’il s’agit de la somme des matières premières indispensables pour obtenir ce bien. L’inflation viendra, en théorie, naturellement augmenter le coût de construction et donc la valorisation du bâti. Par contre, le prix du foncier n’est absolument pas protégé contre l’inflation.

 

Le prix du terrain bâtir :

 

S’il est assez simple et facile d’estimer le prix de construction d’un immeuble, il est nettement plus complexe d’expliquer la valeur du foncier.

 

Quelle est la véritable valeur d’un terrain à bâtir ? A mon humble avis, la valeur d’un terrain à bâtir n’est que le prix qu’un acheteur est prêt à mettre pour pouvoir y construire une maison.

 

Un terrain à bâtir n’a pas de valeur comme tel. Sa valeur n’est que le fruit du résultat de l’offre et de la demande, mais il n’existe pas de valeur intrinsèque.

 

L’obsolescence énergétique :

 

Enfin, l’obsolescence énergétique des bâtiments a un impact négatif sur l’immobilier ancien (obligation de faire un diagnostic). En augmentant rapidement l’effet qualité des bâtiments neufs, l’immobilier ancien devient rapidement obsolète et non conforme. Cette vétusté énergétique est le second volet qui pèse sur l’évolution des prix de l’immobilier ancien.

 

Dans le cas qui nous intéresse, ce bâtiment était très ancien et très humide.

 

Le marché :

 

A l’époque où la mairie s’est portée acquéreur du Chalet Pasteur, nous étions au début de la crise. De plus, au-delà de 250 000 € le marché était très étroit.

 

2/ Le mélange des genres :

 

Certes la procédure a été respectée :

 

Le budget primitif concernant les investissements étaient bien dimensionné. Visiblement l’acquisition du Chalet Pasteur était déjà dans les tuyaux.

Les Domaines ont été sollicités pour évaluer le bien.

Le vendeur, Monsieur SERIE, était aussi Conseiller Municipal et n’a pas participé au vote pour l’acquisition de son bien. Toutefois, il a voté le budget (vote direct ou par pouvoir).

 

Monsieur MARETTE pour justifier l’acquisition de ce bien immobilier à un conseiller municipal s’est senti obligé d’avancer 3 arguments plus ou moins tendancieux (cf. délibéré du conseil municipal).

 

Si la mairie voulait absolument acheter ce bien, elle aurait pu attendre qu’il y ait un acheteur pour décider de préempter et donc se substituer à celui-ci. Au pire, compte tenu de l’état du marché, elle aurait pu réaliser une économie plus que substantielle pour le bénéfice de la collectivité.

 

Les règles ont été respectées mais qu’en est-il de l’aspect moral et de l’intérêt général ???

FONDS DE COMPENSATION DE LA TVA.jpg

 



18/02/2014
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